La Graciosa

Nous avons rejoint la très belle et très sauvage ile de la GRACIOSA. Arrivé dans le port, nous sommes reçus par un agent de sécurité qui nous demande notre autorisation d’accoster. Quid ? Nous découvrons qu’il fallait faire une demande par internet à Lanzarote pour pouvoir venir au port. Après une brève conversation, il appelle Lanzarote et obtient une autorisation pour 3 jours ! Yes….

Le village principal de l’île est Caleta de Sebo qui compte 693 habitants  vivant essentiellement de la pêche et du tourisme. Il existe sur l’île un deuxième village, du nom de Pedro Barba, mais il n’est constitué que de résidences secondaires de Canariens et n’est habité qu’en été.

Il n’y a pas de routes goudronnées ;  que du sable, des pistes, des volcans, des plages, des vagues.

Des touristes arrivent chaque jour au port en ferry mais ils sont peu nombreux en cette saison et on se sent très vite au bout du monde.

Nos vélos (dont l’acquisition nous contente vraiment) nous permettent de sillonner l’ile et d’en apprécier les trésors : de superbes plages avec des vagues à faire rêver les surfeurs, des espaces désertiques entourés de volcans couleur ocre se détachant sur le ciel bleu azur. Après 3 jours au port nous décidons d’aller prendre un mouillage un peu plus loin dans la  « baie des français ».

L’endroit est paradisiaque et très sauvage ; nous ne sommes que 2 voiliers sur le mouillage. L’autre bateau appartient à Pascal qui est venu pour surfer la vague de la « Punta del Corral » avant de traverser vers les Antilles.

Chaque après-midi, un catamaran charter vient déposer sa cargaison de touriste sur la magnifique plage.

Ludo  chasse quelques poissons pour le déjeuner, c’est farniente..

Nous y resterons 3 jours

Galerie La Graciosa


Commentaires

Une réponse à “La Graciosa”

  1. Vous avez dû vous faire plaisir sur ce « bout du monde » désertique et sauvage …
    et le poisson frais … sublime.
    Je découvre votre site qui m’a été donné par le IYCH, beau parcours, bravo, cela nous fait voyager et nous sort du quotidien tristounet actuel du covid qui j’espére ne vous a pas touché …

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